Conférence animée par Jean Luc Penet
Les réflexes archaïques sont un peu comme des poupées russes qui s’emboîtent les unes dans les autres ; Ils permettent les étapes du développement moteur et neurosensoriel de l’enfant, et ce dès in-utéro.
Les réflexes bien intégrés protègent les personnes et les aident à survivre en cas de stress. En cas de stress prolongé ou de peur intense, la personne a tendance à revenir à ses schémas anciens qui lui ont permis de survivre. Elle se trouve alors bloquée dans ce qu’elle veut entreprendre.
Il peut s’en suivre alors toutes sortes de difficultés, parmi lesquelles nous trouvons les obstacles à apprendre, le manque de concentration, les intolérances alimentaires, la peur d’entreprendre ou d’évoluer, la difficulté à choisir, à prendre une décision, à gérer ses émotions, les troubles de l’attention, la dyslexie, l’hypersensibilité, la difficulté à trouver sa place, l’hyperactivité, l’hyperémotivité, les tensions physiques, l’autisme
Adultes et enfants peuvent être tout autant concernés
Des outils concrets à mettre en œuvre pour réaliser une intégration à tout âge. Des liens seront établis entre les réflexes archaïques non-intégrés et les blessures émotionnelles, le langage du corps, la posture, la physiologie (réaction aux minéraux, vitamines, neurotransmetteurs…)…